mercredi 30 décembre 2015

Avenue of Mysteries, de John Irving

J'ai lu Avenue Of Mysteries, de John Irving.

J'ai reçu ce livre, en anglais, de la part de ma soeur pour mon anniversaire, il y a deux semaines.

Je ne savais même pas que John Irving, un de mes écrivains favoris, si ce n'est le premier, avait écris un nouveau roman. Avenue of mysteries a été publié le 3 novembre 2015, ce qui en fait son dernier livre en date.

Quatrième de couverture : As we grow older—most of all, in what we remember and what we dream—we live in the past. Sometimes, we live more vividly in the past than in the present.

As an older man, Juan Diego will take a trip to the Philippines, but what travels with him are his dreams and memories; he is most alive in his childhood and early adolescence in Mexico. “An aura of fate had marked him,” John Irving writes, of Juan Diego. “The chain of events, the links in our lives—what leads us where we’re going, the courses we follow to our ends, what we don’t see coming, and what we do—all this can be mysterious, or simply unseen, or even obvious.”

Grosso modo, nous suivons la vie de Juan Diego, le narrateur, un écrivain mexico-américain, dont le passé se mélange au récit du présent. Cela peut porter un peu à confusion au début, mais on se fais assez rapidement à ce mode d'écriture.

L'histoire ne m'as pas plu. Elle n'est pas spécialement intéressante, les personnages pas aussi attachants que ceux auxquels John Irving m'a habitué dans ses autres romans. Je me suis forcée à finir ma lecture, mais au fond, elle n'est pas à la hauteur du Monde selon Garp, ou bien Until I Find You, ou encore The Cider House Rules.

Pour un livre qui s'appelle l'Avenue des mystères, trop de mystères demeurent en fin de lecture. Pour ne pas vous gâcher la lecture, si vous vous décidez à vous lancer dans un pavé de quasiment 500 pages, je ne rentrerais pas dans le détails.

Je n'ai pas grand chose à dire de ce livre, mis à part que la lecture en fut longue et ardue. J'ai tout de même envie de lire les autres romans de John Irving que je n'ai pas encore lu, mais personnellement je n'ai pas été convaincue par ces derniers romans (celui ci, et In One Person)

dimanche 20 décembre 2015

Multiples tentatives avortées.

Dernièrement, je n'ai pas eu beaucoup de temps pour lire, ou alors je n'ai pas beaucoup lu car je n'ouvrais pas les bons livres. Je ne sais pas dans quel sens tourner le lien de causalité.

Après avoir terminé la lecture de Rich Kids On Instagram, qui ne m'avais pas plu du tout (cf : article précédent), j'avais plutôt hâte de passer à un autre roman. J'ai donc opté pour l'un des autres livres que j'avais acheté pendant mon séjour en Angleterre, à savoir : Not That Kind Of Girl de Lena Dunham.

Les premiers chapitres étaient pas mal, assez prometteurs, mais rapidement mon intérêt pour ce livre à diminué pour finir par s'éteindre complètement à peu près à mi lecture. Je n'arriverais pas trop à expliquer pourquoi, mais je trouvais que l'humour de l'auteur était de plus en plus lourd, et les sujets de moins en moins intéressants et, en même temps, de plus en plus centrés sur elle même.

Bref, j'ai abandonné là ma lecture.

J'ai ensuite décidé de lire le roman de Amy Poehler, "Yes Please!", également acheté en Angleterre. Malheureusement, même désastre. J'ai lu les premières 40 pages assez rapidement, mais très vite aussi, j'ai décroché. Je m'attendais à quelque chose de très drôle, et ça aurais pu l'être si seulement ça n'avais pas été aussi autobiographique... Quoi que, ce n'est pas tant le coté autobiographique qui me dérangeais, mais plutôt le fait de ne connaitre aucune des autres célébrités américaines auxquelles Amy Poehler faisait référence. De plus, de longs chapitres sont dédiés à l'improvisation, l'une de ses grandes passions, mais que nous ne partageons absolument pas.

Bref, j'ai abandonné là ma lecture.

Ensuite, après une periode de plusieurs jours, voir même quasiment deux semaines sans aucune lecture, je me suis penchée sur un livre plus... Intellectuel, et moi autobiographique. Je ne l'ai pas terminé, je prends mon temps, mais j'ai commencé à lire Les religions meurtrières, de Elie Barnavi. Il m'as été recommandé par ma famille, et ce sujet est très intéressant dans le contexte actuel.

Sinon, j'ai reçu le dernier roman de John Irving pour mon anniversaire, de la part de ma soeur :) Et je compte le lire pendant ces vacances de Noël. Je posterais une photo, car c'est un objet livre magnifique !

Je me suis acheté aujourd'hui un livre prometteur, "Voir son steak comme un animal mort", que j'essayerais de chroniquer rapidement.
Voilà pour les nouvelles, et pour justifier ma "période creuse"!

samedi 24 octobre 2015

Rich Kids of Instagram, de Maya Sloan.

J'ai lu Rich Kids of Instagram, de Maya Sloan.

J'ai acheté ce livre cet été, lors de mon court séjour à Londres, dans une librairie géniale : Waterstones.

J'ai été séduite par la couverture, intriguée plutôt, et j'ai survolé le résumé car je n'avais pas beaucoup de temps avant que la librairie ferme. Pour être honnête, je n'aurais pas du l'acheter, c'était un achat impulsif qui, au final, n'était pas un bon choix.

Quatrième de couverture : "Based on the wildly popular blog “Rich Kids of Instagram,” a dishy and hilarious novel about the intersecting lives of the world’s most extravagant, unapologetically uber-rich teenagers.

The “Rich Kids of Instagram” are not your typical well-to-do brats. These “kids” drive Ferraris, fly to their weekend getaways in private jets, and post self-indulgent photos of themselves online as frequently—and as wantonly—as they blow wads of cash. Not to mention that they’re more involved in sex, drugs, and power plays than most people twice their age."

Voilà donc de quoi traite le livre : d'une bande de jeunes, extrêmement riches, et de leurs vies qui s'entrecroisent. Chaque personnage se voit dédié un chapitre, tous plus inutiles les uns que les autres. La fin est particulièrement décevante, je me suis demandé quel en était l'interêt.
J'ai appris par la suite que ce livre était basé sur un blog (du même nom)

En gros, je ne m'attendais pas du tout à ça. Et je n'ai pas apprécié.

Reconstructing Amelia, de Kimberly McCreight

J'ai lu Reconstructing Amelia, de Kimberly McCreight.

J'avais découvert ce livre par hasard, en passant du temps sur mon site favoris pour commander des livres : bookdepository ! Le titre et la couverture ne m'ont pas spécialement attirée, par contre après avoir lu le résumé, je l'ai tout de suite mis dans ma Wishlist. Quelques jours plus tard, il arrivait chez moi, et c'est seulement des mois après que j'ai enfin pris le temps de le lire.

Et je ne regrette pas du tout ! Après avoir lu un livre assez... compliqué, qui exige de la réflexion (The Man Who Mistook his Wife for a Hat, dont je ferais une chronique plus tard) cette lecture m'as fait du bien. L'histoire commence et d'un coup on est comme happé dedans, impossible de le lâcher. Je me suis sentie tellement à l'aise avec les personnages d'Amélia et de Kate. Elles sonnaient juste.

Quatrième de couverture : "Kate's in the middle of the biggest meeting of her career when she gets the telephone call from Grace Hall, her daughter’s exclusive private school in Park Slope, Brooklyn. Amelia has been suspended, effective immediately, and Kate must come get her daughter—now. But Kate’s stress over leaving work quickly turns to panic when she arrives at the school and finds it surrounded by police officers, fire trucks, and an ambulance. By then it’s already too late for Amelia. And for Kate."

Nous suivons deux narratrices, mais à des temps différents. Les chapitres écris du point de vue de Kate relatent les faits présents, tandis que ceux d'Amelia se rapportent aux mois précédents. J'ai beaucoup aimé cette écriture, qui fait un peu penser à Gone Girl de Gillian Flynn (dont la chronique dispo sur ce blog également)

Premiers amours, sororité, lycée, amis, SMS, twitter, facebook... Le quotidien d'Amélia ne corresponds pas à ce que s'imaginait Kate, et elle découvre cela petit à petit lors de l'enquête précédent sa mort. (Non, ce n'est pas un spoil, cela arrive dès le premier chapitre, le restant du livre relate le vécu de Kate, le tout entremêlé de ce qu'Amélia a vécu pendant ses derniers mois)

En conclusion, un livre qui gagne à être lu. :)

lundi 31 août 2015

Freakonomics, de Steven D Levitt & Stephen J Dubner

J'ai lu Freakonomics, de Steven D Levitt et Stephen J Dubner.



Comme la plupart de mes lectures de l'été, j'ai lu ce livre en anglais et je l'ai acheté via le site bookdepository, qui est une vraie mine d'or pour les amateur de lecture en V.O ! (La livraison est gratuite, et ce dans le monde entier)

J'ai beaucoup entendu parler de ce livre, et ce depuis longtemps, mais je n'avais jamais réussi à mettre la main dessus en bibliothèque ou en librairie. Je me suis donc décidée à me le procurer sur internet, et je ne regrette pas du tout mon choix !

Freakonomics est un livre classé dans la catégorie "économie", mais à vrai dire c'est une catégorie à lui tout seul. Un economiste, Steven Levitt, et un journaliste chercheur, Stephen Dubner, collaborent pour nous offrir une vision tout à fait inédite du monde qui nous entoure.

En effet, les questions posées dans ce livre nous concernent tout un chacun, ou peuvent nous intéresser dans une certaine mesure. Quel est le point commun entre le Ku Klux Klan et un groupe d'agents immobilier? Qu'est ce qui est plus dangereux, une piscine ou un pistolet? Pourquoi la plupart des dealers de drogues vivent encore chez leur mère? Qu'est ce que les sumos et les professeurs d'école ont en commun?

Quatrième de couverture : Which is more dangerous, a gun or a swimming pool? What do schoolteachers and sumo wrestlers have in common? How much do parents really matter?
These may not sound like typical questions for an economist to ask. But Steven D Levitt is not a typical economist. He studies the riddles of everyday life - from cheating and crime to parenting and sports - and reaches conclusions that turn conventional wisdom on its head. Freakonomicsis a groundbreaking collaboration between Levitt and Stephen J Dubner; an award-winning author and journalist. Through forceful storytelling and wry insight, they show that econoics is, at root, the study of incentives - how people get what they want or need, especially when other people want or need the same thing.

Voici donc un livre que je recommanderais à tout le monde et qui pourrais interesser un grand nombre de personnes. Il se lit facilement, et on en apprends malgré cela beaucoup ! Généralement les livres de ce genre peuvent être un peu... Dur à lire, long, voir carrément chiants. Ce n'est pas du tout le cas de Freakonomics, dont je vais me procurer la suite (SuperFreakonomics) dès que possible :)

How to build a girl, de Caitlin Moran

J'ai lu How to Build a Girl, de Caitlin Moran.



J'ai commandé ce livre sur bookdepository en même temps que son autre roman, "How to be a Woman", l'an dernier. (Je l'ai chroniqué sur ce blog également, allez voir sous le libellé Moran Caitlin si cela vous interesse !)

C'est donc un peu par hasard que j'ai décidé de commander ce livre, il m'était suggéré sur le site car j'avais mis l'autre dans mon panier, et la couverture ainsi que le résumé m'avaient bien tenté. Après avoir lu How to be a Woman, j'étais bien contente de l'avoir commandé aussi!

Quatrième de couverture : "My name's Johanna Morrigan. I'm fourteen, and I've just decided to kill myself. I don't really want to die, of course ! I just need to kill Johanna, and build a new girl.
It's 1990. The Happy Mondays are on Top of the Pops, Thatcher's almost gone and life is so awful here in Wolverhampton. So I will build this new girl out of library books, pop music, eyeliner and feedback! Things do not go so smoothly. In fact, I... Get nervous and talk like Elvis a lot. Force myself to smoke. Almost expire through wanting to be kissed. Become confused as to whether ot not I actually have a boyfriend. Engage in the most inept self-harming session ever, and drink too, too, too much every time. My life is basically The Bell Jar written by Adrian Mole.
But in the end, like all great stories, I did it all for a girl. Me."

C'était donc le premier roman "fiction" de Caitlin Moran, largement inspiré de sa propre jeunesse, et je dois dire que je n'ai pas été déçue. On y vois le combat ordinaire d'une jeune fille adolescente mal dans sa peau, et mal dans sa vie, qui essaye de par son image et son comportement, de se faire une place dans le regard des autres. Tout cela est relaté avec un humour british propre à Caitlin Moran (si vous n'avez lu aucun de ses livres, je vous conseille de commencer par How to be a Woman!) que j'adore.

Je l'ai lu relativement vite, et pourtant l'histoire est riche et on vois l'évolution de Johanna, jeune fille impressionnable et influençable, qui devient plus mature après toutes ses péripéties.

Pour conclure, Caitlin Moran ne me deçois jamais, à chaque fois mon moment de lecture est apprécié, agréable et amusant :)

jeudi 6 août 2015

Delirium, de Lauren Oliver

J'ai lu Delirium, de Lauren Oliver.



J'ai reçu ce livre pour Noël après me l'être souhaité, je l'avais découvert par hasard au fil des pages de propositions du site bookdepository.

Tout d'abord, la couverture de l'édition Hooder est géniale! Superbe, avec le titre en brillant, et un toucher très particulier. En plus, l'image se rapporte vraiment à un moment que l'on retrouve dans le livre. Ce ne sera donc pas surprenant d'apprendre que j'ai choisi ce livre premièrement en raison de sa couverture, et de son titre qui m'intriguait assez pour que j'ai envie d'en lire le résumé.

Quatrième de couverture : "They say that the cure for love will make me happy and safe forever. And I've always believed them.
Until now.
Now everything has changed. Now, I'd rather be infected with love for the tiniest sliver of a second than live a hundred years suffocated by a lie.
There was a time when love was the most important thing in the world. People would go to the end of the earth to find it. They would tell lies for it. Even kill for it.
Then, at last, they found a cure.'

Nous avons donc affaire à une dystopie romantique, et plutôt jeunesse étant donné que la narratrice à 17 ans, quasiment 18. Cependant, cela ne m'a pas gênée du tout, j'étais tellement concentrée sur la société dans laquelle elle vit (l'amour étant une maladie, des raids de police peuvent arriver à tout moment, tout le monde est surveillé... Des airs de Big Brother) De plus, à part à certains moments, elle est très mature.

L'histoire d'amour est, je trouve, bien traitée; l'histoire dans sa globalité commence peut être un peu doucement, mais cela permet à l'auteur de bien planter le décor, l'ambiance dans laquelle Magdalena (l'héroïne) évolue.

Il faut savoir que ce livre est le premier d'une trilogie! Et qu'il finit un peu en cliffhanger, donc attendez vous à devoir vous proccurer assez rapidement la suite :) Personnelement j'ai attendu de l'avoir presque terminé pour commander les deux autres tomes, et maintenant je suis obligée de patienter...

Pour conclure, ce livre est une très bonne découverte, et je la conseille à tout ceux qui aiment les dystopies et les histoires d'amour !